Samedi 8 septembre 2007 à 21:27

J'écris un petit article pendant que j'en ai encore le temps. L'année qui s'annonce sera très studieuse voire même pire !! Je serais sûrement très souvent absente par manque de temps et surtout par le boulot...C'est la drenière chance pour faire mon métier donc je m'y consacre entièrement car il paraît que quand on veut on peut alors vu que je le veux ben je le peux...
Enfin, c'est un article pour vous dire que je ne serai pas très présente dans les 9 mois qui vont suivre...J'espère que vous comprendrez, je n'ai pas le droit à l'erreur donc je dois me donner toutes les chances pour réussir. Pas de sorties, pas d'anniversaires, rien du tout. Je ne peux pas me le permettre, il faut que j'ai mon année donc c'est au boulot que vous me trouverez....
Pardonnez-moi pour l'année qui va venir.... Mais il le faut, c'est mon avenir qui se joue donc.......
Enfin voilà, peut être que j'arriverai à mettre de temps à autre un article mais ça va devenir très irrégulier et surtout très éloigné les auns des autres...Mais il le faut !!
Je vais me reposer avant le suite des évènements....
Bon courage à tous
Au plus vite possible....

Vendredi 31 août 2007 à 18:29

Il fait bon écrire quand l'esprit reste sagement calme.... Reste juste cette petite douleur de tête qui n'arrive pas à se taire mais avec la soirée qui avance, ça devrait diminuer.... Je sens qu'une langueur s'immisce en moi, une sensation douce qui donne envie d'exister tranquillement. J'ai envie de profiter de ce que je vis avec elle, envie de continuer à l'apprendre comme nous le faisons depuis presque un an.
Une année de bonheur car franchement pour le nombre de fois qu'il y a eu des tensions (ça doit se compter sur les doigts d'une main, la droite de préférance.....), c'est un an de bonheur, littéralement. Elle me manque, là maintenant tout de suite, elle manque tout le temps sauf quand nous sommes ensembles.... enfin, elle a changé ma vie et continue de le faire.
Mon amour, voilà encore un article pour toi, pour nous, pour notre couple.
Je t'aime mon ange, ne l'oublie jamais....

Mercredi 22 août 2007 à 23:58

Laissez-moi sombrer en ces soirs où la seule chose qui pourrait me redonner le sourire est de me blottir contre elle pour ne plus penser que ça me fait encore mal. Ecrire mon témoignage m'a fait plus de mal que je ne le pensais. Tout remonte d'un seul coup et je me laisse submerger par ma douleur qui ne s'éteint toujours pas. Faites quelque chose pour qu'elle se taise, j'ai mal ce soir, je ne supporte pas ma faiblesse qui revient si facilement. Je ne supporte pas ces larmes qui coulent alors que j'ai trop lutté pour qu'elles restent au fond de moi. Mais un jour, ça doit sortir. C'est sans défense que je suis dans ces moments où je m'abandonne à une rechute de courte durée. Mes larmes me blessent autant que mes mots qui s'écrivent. Ecrire c'est réaliser que je me croyais guérie et qu'il reste cette petite chose qui est toujours là pour me faire saigner le cœur. Si vous voyez mon cœur, il porte une cicatrice énorme que j'ai refermée du mieux que j'ai pu. Je ne peux pas tout le temps contrôler ce que je ressens….J'y arrivais avant ma souffrance, j'y arrivais avant de vouloir mettre fin à mes jours. Depuis je suis un être qui cache ses sentiments par peur de souffrir trop mais qui est si sensible que ses larmes coulent …. Et puis cette solitude qui m'a construite n'est plus supportable. J'ai besoin d'elle pour ne plus avoir peur de vivre, pour ne plus avoir peur d'aimer comme je le fais. Mon amour, empêche ma douleur d'exister, empêche là de remonter comme ce soir. Protège moi de ton amour pour boucher ce vide que j'ai du faire en occultant ce que j'ai vécu. J'ai tenté d'oublier, j'ai déjà faire complètement abstraction d'une partie trop honteuse pour même que j'y pense. J'écris les yeux rouges, cette crise de larmes me fait peur. Je suis terrifiée par une rechute possible. Je me surveille constamment pour que je ne baisse plus les bras, pour ne plus retrouver cette envie qui m'a suivie si longtemps que je la connais comme si elle était ma sœur. Ce sentiment de mort est ma phobie, mais vous ne pouvez pas imaginer la détresse à chaque fois que mes larmes me noient. J'ai peur, je t'appelle mon amour. Continue de me sauver comme tu le fais, continue pour que je reste hors de l'eau, pour que je ne pense plus à toucher le fond une bonne fois pour toute. Mon amour, tant que tu m'aimeras je sais que je vivrai…Je t'aime, ne me laisse jamais, je ne le supporterai pas, j'ai besoin de toi comme tu peux le constater. Mon amour, tu es ma renaissance, ne m'oublies pas…Je t'aime….

Mercredi 22 août 2007 à 2:39

C'est une sensation spéciale quand je cherche quoi écrire. Je laisse batifoler mes pensées jusqu'à ce qu'elles se posent sur un sujet perdu au milieu de ce monde qui m'entoure. Et puis alors je vois les mots qui s'enchaînent si vite que je ne sais pas forcément pourquoi j'écris tout ça. Je continue, puis d'un seul coup plus de mots qui s'enchaînent et me revoilà à chercher l'inspiration sur un coup de vent qui m'ébouriffe. Je me vois m'envoler dans un souffle d'air si frais que je dois protéger la chaleur de mon bonheur. Ce soir, mes mots partent dans tous les sens et c'est tant mieux. Personne n'y comprendra rien et moi non plus. Ça fera un article bizarre. Un article abstrait où j'aurai laissé les mots décider de l'issu de ce texte. Une fin rapide ou pas, incongrue ou pas, ou une fin banale. Je ne sais pas le pourquoi du comment de tout ça. Je ne sais pas ce que j'écris, je verrai bien plus tard quand j'aurai publié mon article. Ce sont des mots pas libérateurs puisque tout va bien, juste des mots car j'aime écrire pour le simple fait de partager ce que j'écris. Je crois que le seul but de mes écrits est le partage avec les autres : mes amis, ma famille, et les autres. Juste une envie de partage amical.

Mardi 21 août 2007 à 12:16

Et si le pardon était une parole qui comptait réellement ? Et si les gens qui nous font du mal se faisaient pardonner ? Que feriez-vous ?
Certains actes ne sont pas pardonnables, je pourrais faire n'importe quoi que ma haine ne pourrait s'éteindre définitivement.
Comment pardonner à des fous qui, pour leur plaisir, jouent avec les sentiments de personnes naïves en quête de ce qu'elles sont ? Comment ne pas ressentir de la colère en penser à ce genre d'individus ?

Mon texte servira de témoignage pour ceux qui me liront. La plupart des personnes qui me lisent sauront les conséquences de ce que j'ai vécu.
    Tout a commencé par un commentaire sur mon ancien blog. Tout a commencé par une adresse échangée puis des heures de discussion par MSN. Et puis, c'était une époque où mes recherches sur moi-même battaient leur plein. "la chose" (je l'appelerai ainsi tout au long de mon texte avant d'expliquer le fin mot de l'histoire) avait trouvé une proie facile dans mes doutes. Pour ma part, j'ai commencé à m'attacher amicalement puis bien au-delà. Mes sentiments n'étaient pas factices. Ils étaient présents tous les jours et la chose me disait qu'elle ressentait la même chose pour moi. Tout a commencé le 8 mai 2005. La déclaration s'est faite ce jour là mais nos relations avaient commencé bien avant ça,  peut être au début de l'année scolaire donc septembre 2004. L'été est alors arrivé. J'ai pu alors passé beaucoup de temps sur internet pour parler encore et encore de mes sentiments pour la chose. J'avais le droit au même discours tous les jours. Et puis, il a commencé à me manquer un contact, j'ai commencé à insister pour la voir. Plusieurs fois nous devions nous voir, et à chaque fois, "une bonne excuse" l'empêchait de venir me voir.
    Il faut dire qu'en même temps, mes parents avaient peur pour moi et me mettaient en garde, tout comme mes amis. Mais j'étais tellement dans mon histoire que rien ne pouvait me faire changer d'avis, c'était elle avec moi et rien d'autre n'existait autour de moi. Les relations avec mes parents ont alors commencé à se dégrader. J'ai commis trop d'erreurs en leur mentant tout le temps pour pouvoir passer du temps au téléphone avec elle. Et puis ils ont décidé de me priver de tous moyens de communication (je ne les remercierai jamais assez de ce qu'ils ont fait à cette époque). J'ai alors essayé de contourner cette interdiction avec beaucoup de difficultés, mes parents le savaient à chaque fois et, à la maison c'était de pire en pire. J'allais mal, mes parents allaient mal par ma faute. Mes amis me désapprouvaient tous et pourtant je me suis bornée à continuer une histoire qui n'avait pas d'espoir de voir le jour.
    L'été a pris fin et la rentrée est arrivée. J'ai alors pu reprendre contact un peu plus facilement. Les relations avec mes parents n'allaient toujours pas, et ils n'avaient plus confiance en moi. J'étais mal chez moi. Ils ont découvert que je lui parlais encore et là, j'ai compris que le mal que je leur faisais était énorme. Ils ne supportaient plus mes actes. La fin de cette histoire pointait son nez. Mes parents m'ont alors dit que nous avions rendez-vous à la gendarmerie. Nous étions à la Toussaint 2005. Ca faisait déjà un petit moment que je n'avais plus de lien avec la chose. Le jour du rendez-vous est arrivé. Le gendarme m'a alors expliqué que la personne qui devait être une femme, était en réalité un homme de 40 ans, père d'enfants de mon âge. Je me doutais alors de cette issue mais les conséquences de cette histoire ont été tellement difficiles à surmonter. Tout se finissait plus d'un an après le premier contact avec la chose.
    J'ai mis un peu de temps à réaliser ce qu'il m'était arrivé, je m'étais fait avoir du début jusqu'à la fin. J'avais du remords pour ce que j'avais subir à mes parents. J'avais honte de mes actes, honte de ce que j'étais devenue pendant cette période. Honte d'avoir été si innocente, si fragile. Je me retrouvais sans rien, tout l'avenir que je m'étais inventé venait de s'effondrer dans les paroles du gendarme. J'ai alors commencé une descente morale. Combien de fois ai-je failli sauter du haut de la falaise ? Combien de fois ai-je pensé me supprimer pour ne plus avoir mal ? Combien de nuits je n'ai pas dormi ? La guérison a été longue et difficile. L'année scolaire est passée, doucement, entourée par mes amis qui m'ont portée à bout de bras pendant toute l'année. Sans eux, ça aurait été tellement plus dur. Ma famille savait que ça n'allait pas et était aussi très présente.
    L'été dernier est arrivé avec un reste de douleur. Puis le rentrée à la fac s'est présentée à moi. Je sentais que j'avais mal encore de tout ça. Et là, elle est arrivée, celle qui est avec moi depuis plus de onze mois. Elle m'a aidée à reconstruire ce qui avait été détruit, morceau par morceau. Je suis de retour aujourd'hui. Mais ne croyez pas qu'il ne reste rien de cette histoire. Il y a toujours ce remords, cette honte, une certaine souffrance qui ne peut pas s'éteindre comme pour me rappeler le mal que j'ai fait autour de moi à ce moment-là. Je n'oublie pas, je vis avec et tente de faire mieux. J'essaie de transmettre ce que j'ai vécu par mes mots pour que ça n'arrive plus, pour que vous fassiez attention. L'émotion est encore présente quand j'écris cette époque, c'est loin mais encore si près de moi. 
    Tout va mieux, j'ai l'amour, l'amitié et la famille autour de moi. Je suis heureuse vraiment. Si je peux éviter à certains de vivre ce que j'ai vécu alors j'en serai heureuse. Merci à vous, si vous avez eu le courage de tout lire. Comprenez que je ne puisse pas pardonner la chose, comprenez que mon pardon n'existera jamais pour ça....


Mardi 14 août 2007 à 12:27

"Je ne peux plus respirer dans ce monde parmi vous"

Petite citation pour commencer, petite phrase passagère qui m'a marqué d'un coup, juste aujourd'hui et pourtant je l'ai déjà entendu plein de fois...Sûrement l'état d'esprit du jour, sûrement un ras-le-bol de moi-même.... Ca doit être ça.....
Comprenez-vous qui vous êtes, comprenez-vous ces questions qui hantent l'esprit alors que, paraît-il, les fantômes n'existent pas ?
Je ne comprends rien, je ne comprends plus, je ne cherche même plus à comprendre, trop compliqué pour moi et mon coeur. Et puis poser mes états d'âme sur ce blog devrait m'aider et pourtant rien n'y change, je ne comprends toujours pas pourquoi tout ça. Pourquoi  ces questions qui n'ont pas de réponses ? (Je vous promets que je cherche comme une folle mais je ne sais pas quoi faire....).
Vous ne comprenez pas cet article, c'est normal, il est ma pensée du moment : fouilli, en bordel littéralement, un grand n'importe quoi qui me ressemble pas mal finalement. Enfin, peut être, un jour, j'arriverai à organiser correctement mes idées, mes soucis et leurs réponses. Peut être que j'arriverai à ne plus avoir de problème avec moi-même. Ou bien peut ête pas. Et puis tant puis, c'est un article pour rien qui devait m'aider mais qui ne change rien. Il est donc inutile...Enfin, moi je dis ça, j'en sais rien......

Jeudi 9 août 2007 à 19:38

Bon je recommence le même système que la dernière fois. Je mets un lien qui va sur le blog de ma cousine où il y aura l'image et puis moi je mets le texte sur mon blog.... Le lien sera en majuscule dans le texte qui ira avec la photo.

Une nostalgie sous PARAPLUIE qui essaie de se cacher pour mieux qu'on la trouve. Malgré tout, ce sourire, si infime soit-il, ce sourire d'espoir illumine une journée qui s'annonçait austère. Une impression de douceur, de protection sous ce parapluie plein de motifs. Cette jeune fille qui semble attendre ou simplement être dans le nuages donne une envie de se mettre sous une couette pour profiter de la chaleur d'un lit et du réconfort qu'il peut apporter. Elle semble assez heureuse même si perdue au fond d'elle-même. Et si on essayait de vivre en étant heureux tous les jours ? Et si on y arrivait ? Et si, et si, et si.......???? Cette image est une remise en question noire et blanche...



ps : le changement d'écriture est simplement une réécriture du texte....celui d'avant était médiocre à mes yeux.

Mercredi 8 août 2007 à 0:05

Ce soir, je vais parler d'un livre. Un livre qui pourrait être pour toute personne qui se cherche, un point de départ ou un chemin à suivre par sa finalité.
Je vais résumer très vite fait l'histoire pour expliquer le pourquoi des citations qui vont suivre. Un prof de latin amère pète les plombs et prend en otage sa classe de latin. Voilà en gros l'intrigue. Je précise que ce livre est pour ado mais qu'il convient à tout le monde et même j'aurai tendance à le mettre côté adulte pour tout ce qu'il contient. Bref, ce fameux prof donne la plus belle leçon de vie qu'il m'ait été donnée de recevoir. Il énonce quatre principes que nous devrions apprendre à l'école et je suis complètement en accord avec ses mots.

Voilà les quatre points cardinaux comme il dit.

"SE TROUVER [...] c'est en devenant soi-même qu'on est enfin quelqu'un"
"S ' ENONCER [...] c'est en s'énonçant sans cesse qu'on ne renonce jamais à ce qu'on est"
"S ' ACCOMPLIR seul"
"S ' ESTIMER"
Il rêvait de faire du cirque de Christophe Renault

Le contexte n'y est pas, je vous l'accorde. Si vous voulez comprendre en quoi ces quatre verbes représentent ce que j'aurai voulu qu'on m'explique à une époque, lisez ce livre. C'est un des rares livres qui m'a fait pleurer par sa franchise et par un message si évident qu'on referme les pages de ce livre avec une sensation d'avoir lu sa propre vie. Il est tout simplement un de mes livres préférés.



PS : Pour ceux qui ont des profs qui méritent d'être récompensé de ce qu'ils donnent (ça arrive ne croyez pas le contraire !!) ou bien des profs sont tout le contraire, offrez ce livre ou conseillez le, j'espère que certains réfléchiront à la portée des mots de ce bouquin. Je l'espère sincèrement....

Mardi 7 août 2007 à 1:13

Je vais parler d'amour ce soir, encore une fois. Je remets ma plume en action depuis quelques temps. Elle était muette car le bonheur ne s'écrit pas ou plutôt il s'écrit mais avec le temps qui passe. Et le temps passe avec elle à mes côtés.....
Dans quatre jours, ça fera onze mois que notre couple existe. Onze mois de découverte, d'amour, de désir ; onze mois que je m'imprègne d'elle et qui passent à tout allure. Je ne vois pas le temps passer. Aucun nuage n'est venu assombrir ce que nous construisons toutes les deux. Je ne peux plus m'imaginer une vie future sans qu'elle m'accompagne. Ca peut paraître une pression sur ses épaules, peut être que oui. Mais comment lui dire mes sentiments alors que les mots que j'ai dans le coeur ne peuvent s'exprimer dans un langage normal.
Il manque des mots à la langue française, pourtant déjà très riche, il manque des mots pour exprimer un amour plus qu'immense, un amour si fort que rien ne peut exister autour. Un amour qui détruit un passé trop lourd à supporter. Elle m'a sauvée, m'a reconstruite petit à petit. Aujourd'hui, je suis de nouveau forte, je lui dois cette renaissance. Je lui dois la vie même si ça peut paraître trop.
Je l'aime plus qu'il n'est imaginable. Elle est la seule avec qui j'ai envie de partager ce qui est totalement personnel. Ces petites choses que je ne voulais surtout pas donner à quelqu'un d'autre, mes bouffées d'air frais qui me permettaient de tenir le coup. Elle est la première avec qui j'ai cette envie de partager tout ce que j'ai.
J'ai souffert de tout donner en amour, elle m'a redonné confiance en moi puis en elle. Il m'a fallu du temps pour lui accorder une confiance. Je n'ai plus peur de ce qu'elle peut me faire. Je n'ai plus peur qu'ele me fasse souffrir, je sais qu'elle sera là quoiqu'il se passe. Elle est mon premier grand amour, qu'il dure le plus longtemps possible. Je ne sais pas quand elle lire mes mots qui sont pour son coeur, mais je veux qu'elle sache que je l'aime comme je n'ai jamais aimé.
Je pensais avoir aimé, elle est arrivée et m'a démontré le contraire. Elle m'a mise dans une transe qui ne redescend jamais. Elle est ma drogue, la meilleure pour la santé qu'il puisse exister. Mon ange, tu me fais voler de plus en plus haut. Je t'aime de tout mon coeur, et ce n'est pas qu'une métaphore. Tu es ma lumière, tu m'as donné l'envie de me battre avec moi-même pour faire taire tous ces démons que je n'avais pas encore tués.
Ma puce, je t'aime et crois-moi rien ne pourra changer ce que je ressens pour toi.
Je t'aime......

Lundi 6 août 2007 à 23:20

Petit changement dans mon blog. Je vais mettre des images par l'intermédiaire d'un autre blog (celui de ma cousine en l'occurence). On aime bien échanger nos talents. Elle est ma première fan (je t'accorde ce statut Cousine) comme je suis sa première fan. Elle a un réel talent dans l'écriture enfin vous verrez sur son blog......Ainsi, regardez l'image avant de lire le texte qui va suivre, les deux vont ENSEMBLE.......

Un jour de pluie pourrait ressembler fortement à cette image noire et blanche surmontée de couleurs enfermées... Une nostalgie qui nous pousse à rester sous une couette bien chaude pour ne pas laisser s'évaporer nos rêves. Une émission de douceur où seule le bonheur aurait sa place. Une tristesse joyeuse, ce sentiment qui donne envie dese blottir dans un nuage d'amour. Une imagination incontrôlée par nécessité. Se laisser bercer par une rapidité d'évènements qui passent au-dessus de nos têtes. Avoir l'impression que la vieille époque est plus que jamais présente. Le futur n'existe plus, seulement le moment présent, voire le passé qui s'impose. Un contraste étrange souvent incompréhensible mais dans lequel on aime plonger. Quelques mots qui ressortent d'une sensation d'oubli.... Simplement le bonheur d'être ailleurs.....

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