Il est temps de laisser l'encre couler.
Les mots doivent sortir depuis trop longtemps pour que je les retienne encore.
Cette envie d'écrire comme un état d'urgence, pas moyen de patienter.
Une relative stabilité que, chaque jour, j'explore.
Des mots, toujours des mots pour parler de rien, de tout
Finalement, un instant futile mais tellement libérateur
Une soupape sous pression que j'arrive enfin à ouvrir, une zone de flou
Ne plus réfléchir en pensant que le final sera meilleur.
Des mots, toujours des mots pour soulager certaines faiblesses
Cette pesanteur mise à nue en espérant qu'elle régresse
Tenter de s'élever plus haut, prendre du recul, s'analyser
Une introspection parfois douloureuse mais sereinement acceptée.
Des rimes, toujours des rimes pour exprimer mes sentiments
Une réserve qui cède à des pulsions noircies d'encre
Pour une fois, un oubli des régles nécessaire, sans acharnement
Tellement soulagée, et tellement souvent ce manque....
bape76
Un monde de maux et de mots...
Vendredi 24 décembre 2010 à 15:14
Mardi 4 août 2009 à 0:00
Me revoilà devant mon clavier à essayer d'écrire des mots qui ne sortent plus depuis trop longtemps.
Un rythme pour relancer une création imaginaire qui soulage des plaies passées.
Une mélodie au fond du coeur, un soupçon de noirceur comme dans chaque écrit,
Une nouvelle écriture à apprendre, celle du bonheur où rien n'est prédit.
Mes doigts sur le clavier reprennent leurs droits d'imagination,
Une ambiance psychédélique qui guide mon esprit jusqu'au plus profond de mes douleurs,
Un doute subsiste dans ma capacité à stopper mon autodestruction,
En espérant que mes mots ne m'arracheront plus de pleurs.
Ce besoin viscéral de poser de manière aléatoire des lettres qui s'assemblent dans ma tête de puis trop longtemps
Un surplus qui m'empêche de continuer sans écrire, sans renouer avec mes bases,
Une fluidité perdue, en passe de devenir le seul problème génant
Un style oublié au fond de la rationalité qui a laissé table rase.
Un rythme pour relancer une création imaginaire qui soulage des plaies passées.
Une mélodie au fond du coeur, un soupçon de noirceur comme dans chaque écrit,
Une nouvelle écriture à apprendre, celle du bonheur où rien n'est prédit.
Mes doigts sur le clavier reprennent leurs droits d'imagination,
Une ambiance psychédélique qui guide mon esprit jusqu'au plus profond de mes douleurs,
Un doute subsiste dans ma capacité à stopper mon autodestruction,
En espérant que mes mots ne m'arracheront plus de pleurs.
Ce besoin viscéral de poser de manière aléatoire des lettres qui s'assemblent dans ma tête de puis trop longtemps
Un surplus qui m'empêche de continuer sans écrire, sans renouer avec mes bases,
Une fluidité perdue, en passe de devenir le seul problème génant
Un style oublié au fond de la rationalité qui a laissé table rase.