Dimanche 8 juillet 2007 à 23:25

Parce qu'il y a des soirs comme ça où certaines choses sont trop pesantes pour être supportées.
Parce qu'il y a certains soirs où l'être aimé est loin, et d'un seul coup rien ne compte.
Parce qu'il y a des soirs où seule l'envie d'être dans ses bras nous fait penser aux lendemains.....
Parce que sans elle, il manque une part si grande de ma vie.

Pardonnez moi cet article. Ce soir annonce la fin du week end et donc une nouvelle semaine sans elle. Il m'est difficile d'expliquer ce que représente un semaine seule à n'attendre qu'une chose : le vendredi. Un seul jour de la semaine où l'on se retrouve toutes les deux, enfin !! Tous les parfums, tous les objets ne pourront jamais remplacer un regard ou même une caresse d'elle. Chaque jour sans elle est de plus en plus dur. C'est un sentiment de manque qui s'est installé et qui ne part que quand elle est à mes côtés. Je l'aime, c'est tellement fort ce que je peux ressentir pour elle.
Elle m'a redonné l'envie de partager plus que de l'amitié avec quelqu'un. Elle m'a redonné l'espoir d'être aimée sans être bafouée, elle a cru en moi pour que je sorte définitivement de mon gouffre. Elle m'a tout simplement redonné vie. Je lui dois beaucoup de choses. J'essaie de lui donner du mieux que je peux, j'espère la contenter. Elle me rend heureuse comme personne n'a pu le faire avant. Elle est la seule personne que j'aime, la seule avec qui j'ai envie de partager des parties de moi réservées à moi-même, la seule qui occupe mon coeur de cette façon. Je l'aime et que personne n'en doute car ça serait mal venu.
Ma puce, tu ne verras ce blog que bien plus tard. Je t'aime, si je pouvais, je le crierais partout où je vais car le bonheur dans lequel je baigne depuis que nous sommes ensemble est quelque chose d'unique et précieux. Je t'aime, n'en doute pas...

Mardi 3 juillet 2007 à 21:02

Les conditions étaient mauvaises à l'écriture de ce texte, il a été écrit en seconde également. Il faut savoir qu'en général j'écris quand ça ne va pas sauf à un moment où c'était tout le contraire mais ces textes me retournent trop encore pour que je puisse les relire et vous les faire partager.

ECRITURE

J'écris

Pour me guérir

Du mal qui m'habite, ce mal

Si intense

Si immense

Qui me submerge

Au quotidien, je ganberge

Je ne supporte plus

Cette tension mal vécue

L'écriture me libère

Malheureusement cette liberté

N'est que de courte durée

J'ai le sentiment que tout m'accable

Je me sens incapable

De lutter

Ne serait-ce qu'une journée

Malgré les apparences trompeuses

De ce mal profond

Je remonte à la surface

Faire ma place

Mardi 3 juillet 2007 à 20:51

Enfin, je vous présente un texte de moi, et même plusieurs, j'ai fait un peu de tri aujourd'hui.... Beaucoup sont bannis car trop douloureux mais promis d'autres les remplaceront...... Le premier texte s'appelle DRUGS. Il remonte à trois ans, donc il date. Les circonstances étaient particulières mais il reste un texte qui me correspond plutôt bien même si j'ai changé de point de vue...



Personne ne m'enlèvera de l'idée

Que l'usage de drogues

Restera la meilleure échappatoire de la réalité

Même si c'est pour finir à la morgue

 

Etre à ce point déconnecter de tout

Bonheur si intensément vécu

Pour m'éloigner de vous

Quelque temps sans être vue

 

Besoin de m'éloigner

De mon quotidien

Par des moyens surfaits

 

Bonheur artificiel moyen

Pour un trip de courte durée

Pour vivre comme ça vient



Lundi 2 juillet 2007 à 17:04

    Un article sur la famille et l'importance qu'elle peut tenir à mes yeux s'imposent. Je dois tellement de choses à ma famille : son amour avant tout, son soutien, mais aussi sa présence pour me prévenir des éventuels dangers que je peux m'infliger.... Bref, c'est un élément essentiel de ma vie.
    Je vais commencer par parler de mes parents. Notre relation a beaucoup évolué : nous sommes passés, en un an de temps, du dégoût (je ne trouve pas réellement le mot qui convient) à quelque chose d'indescriptible qui a fait que nous sommes soudés comme nous ne l'avons jamais été je crois. Ils sont la base de tout à mes yeux. Ils sont toujours là quoiqu'il arrive. Ils sont là pour me rappeler à l'ordre si je dévis (je ne vous remercierai jamais assez de ce que vous avez fait pour moi en terminale, non jamais assez je crois). Que ce soit mon frère ou moi, ils sont un soutien indispensable dont, je ne pense pas me tromper en parlant au nom de mon frère, nous ne pouvons nous passer. Je vous aime mes parents pour ce que vous êtes, ce que vous nous donner, et tout le reste....
    Je finirai cet article en parlant du reste de la famille. Mes grands-parents, mes oncles, mes tantes, mes cousins cousines (surtout du côté maternel d'ailleurs), ils ont tous été ma bouée de sauvetage quand je n'allais pas bien. Une simple bouffée d'air frais qui m'a permis de rester la tête hors de l'eau à certains moments puis définitivement. Ils sont aussi une partie de moi que je partage sans cesse avec eux. Je les aime tous autant qu'ils sont pour ce que nous partageons à chaque fois. C'est tout simplement du bonheur.
    Bon après les articles précédents un peu morbides, il fallait un peu plus de joie dans ce blog qui débute. Mes textes ne sont pas encore en ligne je sais mais ça va venir, il me faut un peu de temps pour trier tout ça. Bientôt je vous ferai partager tout ça.

<< Page précédente | 1 | Page suivante >>

Créer un podcast