BIentôt le début d'une nouvelle vie,
Une vie où ils vont sûrement devenir inexistants.
Le temps passe, et j'entrevois ce moment,
Où la décision à prendre est que tout va être être fini.
Ce n'est pas de gaieté de coeur que je vais y renoncer,
Je vais simplement me protéger de ce qu'ils me font endurer.
Leur choix est fait depuis longtemps et je n'en fais pas partie,
Je leur dis adieu, simplement par dépit.
Je ne serai pas celle qui reviendra,
Je ne serai plus celle qui encaissera.
Plus jamais, face à eux, je me tairai
Plus jamais, à cause d'eux, je ne m'abaisserai.
Cette situation n'est que de votre faute,
Vous l'avez envenimée,
Et aujourd'hui achevée
bape76
Un monde de maux et de mots...
Samedi 19 mai 2012 à 16:53
Jeudi 30 décembre 2010 à 7:48
A chaque fois, c'est la même chose.... Ca fait mal de savoir que tu pars... Ce n'est pas la première fois et ça ne sera pas la dernière non plus.... Avant, tu partais pour mieux revenir, j'ai peur maintenant de te voir rentrer là-bas... Je sais que tu es bien là-bas, que c'est mieux pour toi, mais chaque départ, c'est la même chose, ça serre le coeur et je ne sais pas quand je te reverrai....
Avec le temps qui passe, tout ça va s'estomper mais en attendant, ce n'est pas simple de te voir partir.
Je crois que le plus difficile, c'est de savoir que je ne te reverrai pas avant un an... Tu vas me manquer tu sais...
Sois heureux, pense à moi un peu quand même
Avec le temps qui passe, tout ça va s'estomper mais en attendant, ce n'est pas simple de te voir partir.
Je crois que le plus difficile, c'est de savoir que je ne te reverrai pas avant un an... Tu vas me manquer tu sais...
Sois heureux, pense à moi un peu quand même
Vendredi 24 décembre 2010 à 15:14
Il est temps de laisser l'encre couler.
Les mots doivent sortir depuis trop longtemps pour que je les retienne encore.
Cette envie d'écrire comme un état d'urgence, pas moyen de patienter.
Une relative stabilité que, chaque jour, j'explore.
Des mots, toujours des mots pour parler de rien, de tout
Finalement, un instant futile mais tellement libérateur
Une soupape sous pression que j'arrive enfin à ouvrir, une zone de flou
Ne plus réfléchir en pensant que le final sera meilleur.
Des mots, toujours des mots pour soulager certaines faiblesses
Cette pesanteur mise à nue en espérant qu'elle régresse
Tenter de s'élever plus haut, prendre du recul, s'analyser
Une introspection parfois douloureuse mais sereinement acceptée.
Des rimes, toujours des rimes pour exprimer mes sentiments
Une réserve qui cède à des pulsions noircies d'encre
Pour une fois, un oubli des régles nécessaire, sans acharnement
Tellement soulagée, et tellement souvent ce manque....
Les mots doivent sortir depuis trop longtemps pour que je les retienne encore.
Cette envie d'écrire comme un état d'urgence, pas moyen de patienter.
Une relative stabilité que, chaque jour, j'explore.
Des mots, toujours des mots pour parler de rien, de tout
Finalement, un instant futile mais tellement libérateur
Une soupape sous pression que j'arrive enfin à ouvrir, une zone de flou
Ne plus réfléchir en pensant que le final sera meilleur.
Des mots, toujours des mots pour soulager certaines faiblesses
Cette pesanteur mise à nue en espérant qu'elle régresse
Tenter de s'élever plus haut, prendre du recul, s'analyser
Une introspection parfois douloureuse mais sereinement acceptée.
Des rimes, toujours des rimes pour exprimer mes sentiments
Une réserve qui cède à des pulsions noircies d'encre
Pour une fois, un oubli des régles nécessaire, sans acharnement
Tellement soulagée, et tellement souvent ce manque....
Dimanche 17 octobre 2010 à 0:02
Il y a des mots plus intenses que des images
Il y a des silences plus violents qu'une insulte.
Il me manque une caresse, m'aurait-on oubliée ?
Cette épaule s'efface au profit d'une absence prononcée.
Mon analyse me fait mal, je vois trop là où je vais.
Se connaître, quel intérêt si, au final, je termine dans un muret.
J'ai oublié de m'écouter, j'ai oublié de me recentrer sur mon bien être.
La solitude m'appelle, les mots m'aspirent.
Je sens ce besoin d'évasion pour éviter le pire.
Qu'on me laisse sortir des sentiers tracés, je ne sais pas à qui m'en remettre...
J'avance, la plume en sourdine depuis si longtemps.
Une libération de lettres, sous tension, sous pression
Un texte, une phrase, tout s'enchaîne sans voir le temps.
La fluidité s'impose, comme si mes rimes partaient en mission.
Ma vie ne sera qu'un combat, par mes choix, par mes envies
Ne pas lâcher une seule fois, garder toujours le même objectif.
Etre heureuse, épanouie, sans avoir à en payer le prix.
Une base : toujours voir le positif...
Il y a des silences plus violents qu'une insulte.
Il me manque une caresse, m'aurait-on oubliée ?
Cette épaule s'efface au profit d'une absence prononcée.
Mon analyse me fait mal, je vois trop là où je vais.
Se connaître, quel intérêt si, au final, je termine dans un muret.
J'ai oublié de m'écouter, j'ai oublié de me recentrer sur mon bien être.
La solitude m'appelle, les mots m'aspirent.
Je sens ce besoin d'évasion pour éviter le pire.
Qu'on me laisse sortir des sentiers tracés, je ne sais pas à qui m'en remettre...
J'avance, la plume en sourdine depuis si longtemps.
Une libération de lettres, sous tension, sous pression
Un texte, une phrase, tout s'enchaîne sans voir le temps.
La fluidité s'impose, comme si mes rimes partaient en mission.
Ma vie ne sera qu'un combat, par mes choix, par mes envies
Ne pas lâcher une seule fois, garder toujours le même objectif.
Etre heureuse, épanouie, sans avoir à en payer le prix.
Une base : toujours voir le positif...
Mardi 13 avril 2010 à 17:33
Finalement, ils n'ont rien compris...
Mes changements, mes remises en cause, tout a changé et eux n'ont rien vu et ne comprennent pas que j'ai pris mon envol...
Ils veulent me garder près d'eux mais ça ne sera pas possible. Je ne veux pas en arriver à la rupture mais je ne peux pas me taire face aux attaques injustes face à elle. Depuis deux ans, j'attends ce moment, cette concrétisation. Ils veulent m'en priver et j'ai peur que ce soit eux que ça prive. Ma vie n'est pas faite pour être avec eux mais avec elle. Je ne casserai pas notre histoire pour un désaccord et un non respect difficilement justifiable.
Je perds pieds même si je ne veux rien laisser transparaître... Je ne dois pas abandonner mon rivage même si j'ai l'impression que, petit à petit, il s'éloigne. Mes mots ne seront pas ma libération car cette fois, c'est plus profond qu'un coeur brisé. Ma base s'écroule et j'ai peine à la consolider. Leurs paroles sont trop blessantes et le problème c'est qu'elles blessent celle que j'aime. Ils ont attaqué un empire bien solide et notre amour ne se terminera pas car ils l'auront attaqué...
Sans elle, je fonce vers les abysses. Sans eux, je perds un compagnon de vie indispensable. Je ne devrais pas avoir de choix à faire, et c'est pourtant ce que j'ai à faire... Bien triste nouvelle et choix presque cornélien... Que faire si ce n'est lâché le trop plein de tristesse dans des mots qui vont s'oublier bien vite ??
Ne pas lâcher prise, pas encore une fois. Rester forte face à une pression intolérable, ne plus se taire. Oser s'affirmer, vivre sa vie comme on le souhaite. Tellement de choses à apprendre et à oser... Je me battrai pour elle, je me battrai pour eux et j'espère arriver à garder un minimum de cohésion... Rien n'est moins sûr mais je me lance ce défi, dans l'espoir de l'atteindre....
Mes changements, mes remises en cause, tout a changé et eux n'ont rien vu et ne comprennent pas que j'ai pris mon envol...
Ils veulent me garder près d'eux mais ça ne sera pas possible. Je ne veux pas en arriver à la rupture mais je ne peux pas me taire face aux attaques injustes face à elle. Depuis deux ans, j'attends ce moment, cette concrétisation. Ils veulent m'en priver et j'ai peur que ce soit eux que ça prive. Ma vie n'est pas faite pour être avec eux mais avec elle. Je ne casserai pas notre histoire pour un désaccord et un non respect difficilement justifiable.
Je perds pieds même si je ne veux rien laisser transparaître... Je ne dois pas abandonner mon rivage même si j'ai l'impression que, petit à petit, il s'éloigne. Mes mots ne seront pas ma libération car cette fois, c'est plus profond qu'un coeur brisé. Ma base s'écroule et j'ai peine à la consolider. Leurs paroles sont trop blessantes et le problème c'est qu'elles blessent celle que j'aime. Ils ont attaqué un empire bien solide et notre amour ne se terminera pas car ils l'auront attaqué...
Sans elle, je fonce vers les abysses. Sans eux, je perds un compagnon de vie indispensable. Je ne devrais pas avoir de choix à faire, et c'est pourtant ce que j'ai à faire... Bien triste nouvelle et choix presque cornélien... Que faire si ce n'est lâché le trop plein de tristesse dans des mots qui vont s'oublier bien vite ??
Ne pas lâcher prise, pas encore une fois. Rester forte face à une pression intolérable, ne plus se taire. Oser s'affirmer, vivre sa vie comme on le souhaite. Tellement de choses à apprendre et à oser... Je me battrai pour elle, je me battrai pour eux et j'espère arriver à garder un minimum de cohésion... Rien n'est moins sûr mais je me lance ce défi, dans l'espoir de l'atteindre....
Dimanche 31 janvier 2010 à 12:57
D'un regard morose, j'ai regardé ce que je devenais
Mon avenir s'avance malgré moi.
Ce doute d'y arriver, une constante à jamais
Me soulager de mes blessures au fil des mois
Oublier un monde qui ne me laisse pas ma solitude
S'évader par des mots indispensables
Avoir l'envie de s'enfuir sans savoir comment faire
Changer de monde dans l'espoir de rendre le passé supportable
Des démons insistent, ma lutte persiste
A coups de blues, je combats dans un intérieur intimiste
Mes pensées noires ne sont plus mais leurs souvenirs restents
Cette honte m'angoisse toujours et me teste.
J'ai fait des choix qui m'ont coûté chers
Le regret d'avoir exister s'en est fait sentir
La souffrance et l'oubli de soi vont de pairs
Je fais de ma vie un repentir
Positionnée en martyr, j'ai oublié mes envies, ma vie,
Cette douleur sourde m'a emprisonnée
Elle a même failli, à jamais, m'empoisonner
Dans un élan d'espoir, j'ai organisé ma survie.
L'avenir s'écrit toujours avec la peur et l'inconnu
Ma plume s'exprimera avec plus d'aisance et sûrement moins de retenue
Ma vie continue, entrecoupée d'arrêts momentanés
Toujours je reviens, chaque fois, à vivre, plus obstinée.
Mon avenir s'avance malgré moi.
Ce doute d'y arriver, une constante à jamais
Me soulager de mes blessures au fil des mois
Oublier un monde qui ne me laisse pas ma solitude
S'évader par des mots indispensables
Avoir l'envie de s'enfuir sans savoir comment faire
Changer de monde dans l'espoir de rendre le passé supportable
Des démons insistent, ma lutte persiste
A coups de blues, je combats dans un intérieur intimiste
Mes pensées noires ne sont plus mais leurs souvenirs restents
Cette honte m'angoisse toujours et me teste.
J'ai fait des choix qui m'ont coûté chers
Le regret d'avoir exister s'en est fait sentir
La souffrance et l'oubli de soi vont de pairs
Je fais de ma vie un repentir
Positionnée en martyr, j'ai oublié mes envies, ma vie,
Cette douleur sourde m'a emprisonnée
Elle a même failli, à jamais, m'empoisonner
Dans un élan d'espoir, j'ai organisé ma survie.
L'avenir s'écrit toujours avec la peur et l'inconnu
Ma plume s'exprimera avec plus d'aisance et sûrement moins de retenue
Ma vie continue, entrecoupée d'arrêts momentanés
Toujours je reviens, chaque fois, à vivre, plus obstinée.
Dimanche 29 novembre 2009 à 0:23
Tant de nouvelles choses sont arrivées, des mauvaises mais des bonnes principalement
Pourtant il y a quelque chose dans ce travail sur moi qui touche mon tempérament
Un calme forcé car rien ne sort
Pas une larme, pas une rire, pas un sourire, j'encaisse sans rien transmettre à personne
Seule face à moi-même, l'épreuve est plus fatigante qu'elle n'y paraît
Mes pensées s'entre-choquent, j'avance, enfin j'essaie
Des plaies non soignées ont ressurgi d'un lointain passé enfoui
Des cicatrices pas si fermées que ça me torturent sans bruit
Ma démarche doit m'emmener vers l'avant
J'avais tout prévu, mais ça ne se déroule pas selon mes plans
Certes j'avance mais la direction que je prends m'est inconnue
Je continue ma route, toujours un peu douloureuse et incongrue
Mon sommeil est léger tout comme les pas en avant en ce moment
Sans reculer, j'hésite à chaque pas, inlassablement
Pourtant il y a quelque chose dans ce travail sur moi qui touche mon tempérament
Un calme forcé car rien ne sort
Pas une larme, pas une rire, pas un sourire, j'encaisse sans rien transmettre à personne
Seule face à moi-même, l'épreuve est plus fatigante qu'elle n'y paraît
Mes pensées s'entre-choquent, j'avance, enfin j'essaie
Des plaies non soignées ont ressurgi d'un lointain passé enfoui
Des cicatrices pas si fermées que ça me torturent sans bruit
Ma démarche doit m'emmener vers l'avant
J'avais tout prévu, mais ça ne se déroule pas selon mes plans
Certes j'avance mais la direction que je prends m'est inconnue
Je continue ma route, toujours un peu douloureuse et incongrue
Mon sommeil est léger tout comme les pas en avant en ce moment
Sans reculer, j'hésite à chaque pas, inlassablement
Mardi 4 août 2009 à 0:00
Me revoilà devant mon clavier à essayer d'écrire des mots qui ne sortent plus depuis trop longtemps.
Un rythme pour relancer une création imaginaire qui soulage des plaies passées.
Une mélodie au fond du coeur, un soupçon de noirceur comme dans chaque écrit,
Une nouvelle écriture à apprendre, celle du bonheur où rien n'est prédit.
Mes doigts sur le clavier reprennent leurs droits d'imagination,
Une ambiance psychédélique qui guide mon esprit jusqu'au plus profond de mes douleurs,
Un doute subsiste dans ma capacité à stopper mon autodestruction,
En espérant que mes mots ne m'arracheront plus de pleurs.
Ce besoin viscéral de poser de manière aléatoire des lettres qui s'assemblent dans ma tête de puis trop longtemps
Un surplus qui m'empêche de continuer sans écrire, sans renouer avec mes bases,
Une fluidité perdue, en passe de devenir le seul problème génant
Un style oublié au fond de la rationalité qui a laissé table rase.
Un rythme pour relancer une création imaginaire qui soulage des plaies passées.
Une mélodie au fond du coeur, un soupçon de noirceur comme dans chaque écrit,
Une nouvelle écriture à apprendre, celle du bonheur où rien n'est prédit.
Mes doigts sur le clavier reprennent leurs droits d'imagination,
Une ambiance psychédélique qui guide mon esprit jusqu'au plus profond de mes douleurs,
Un doute subsiste dans ma capacité à stopper mon autodestruction,
En espérant que mes mots ne m'arracheront plus de pleurs.
Ce besoin viscéral de poser de manière aléatoire des lettres qui s'assemblent dans ma tête de puis trop longtemps
Un surplus qui m'empêche de continuer sans écrire, sans renouer avec mes bases,
Une fluidité perdue, en passe de devenir le seul problème génant
Un style oublié au fond de la rationalité qui a laissé table rase.
Vendredi 3 juillet 2009 à 23:26
Depuis une journée, j'ai un avenir...
Enfin la fin de trois ans sans voir beaucoup d'autres choses que mes cours.
La vie recommence vraiment et pour de bon cette fois car je vais faire ce que je veux.
Une nouvelle vie commence pour moi, pour nous surtout.
Une année de galère s'achève et je crois que ça ne pourra qu'être mieux.
J'ai hâte d'aller de l'avant maintenant...
Vivement la suite !!
Enfin la fin de trois ans sans voir beaucoup d'autres choses que mes cours.
La vie recommence vraiment et pour de bon cette fois car je vais faire ce que je veux.
Une nouvelle vie commence pour moi, pour nous surtout.
Une année de galère s'achève et je crois que ça ne pourra qu'être mieux.
J'ai hâte d'aller de l'avant maintenant...
Vivement la suite !!
Samedi 6 juin 2009 à 14:24
Voilà la fin d'une nouvelle année et enfin autre chose que le travail !!
Je suis de retour parmi les vivants et plus seulement parmi les survivants...
L'écriture s'est échappée de mes doigts mais avec un peu de patience elle devrait refaire surface.
Je sais que mon absence a été longue mais normalement, je reviens pour de bon.
Vraiment, ça fait du bien d'être de retour.....
Je suis de retour parmi les vivants et plus seulement parmi les survivants...
L'écriture s'est échappée de mes doigts mais avec un peu de patience elle devrait refaire surface.
Je sais que mon absence a été longue mais normalement, je reviens pour de bon.
Vraiment, ça fait du bien d'être de retour.....